mercredi 29 octobre 2014

(Na) Ruixamantells

Il y a très longtemps, sur le fond de la mer près de l'îl(l)e de Majorque, habitait(e) une déesse. Tout le monde la connaissait(t) sous(par) le nom de (na) Ruixamantells. On dit qu'elle était(est) très belle, que son corps était(est) moitié femme et moitié poisson, comme une sirène. Elle portait(e) des colliers de perles et des boucles d'oreilles de corail. Ses yeux étaient(sont) bleus comme la mer. Malgré cela, na Ruimantells n'était(est) pas heureuse parce qu'elle n'a pas jamais connu l'amour.
Souvent, elle regardait(e) avec langueur les marins et les pêcheurs qui sillonnaient les eaux de son royaume mais elle savait qu'ils étaient(sont) pour elle l'amour impossible parce que les marins ne pouvaient(euvent) pas vivre dans la mer et elle ne pouvait(eut) pas vivre sur la terre. Elle vivait dans l'océan avec l(d)es poissons, l(d)es poulpes, l(d)es algues et l(d)es étoiles de mer. Alors quand elle était(est) triste elle provoque tout à coup des tempêtes, des foudres et des coups de tornnerre. Souvent, sa colère a produit le naufrage des bateaux. Aux Îles Baléares tout le monde avait peur des tempêtes provoquées par la tristesse de (na) Ruixamentells, même les marins le plus chevronnés les craignaient.
Un jour, un jeune pêcheur est(a) sorti en(à la) mer sur(dans) son voilier comme d'habitude. Brusquement, une tempête s'est formée, et une vague géante a frappé le bateau et a rompu le gouvernail. L'embarcation était à la dérive et le jeune homme, à(au) bout de(s) forces, est(a) tombé à la mer, tout en criant. (Na) Ruixamantells a entendu les cris du pêcheur et elle est remontée(a) à la surface. Pour un instant, ils se sont regardés (regardèrent) sans dire un mot et ils sont tombés amoureux en un clin d'oeil. Depuis (À partir de) ce jour-la ils sont un pêcheur plein de bonheur et une déesse heureuse.
C'est ce qui explique que la mer Méditerranée soit(est) devenue une mer calme, et personne n'a plus peur des tempêtes provoquées par la tristesse de (na) Ruixamantells. Grâce à l'amour, la tristesse de la déesse a(ont) disparu pour toujours.

Isabel, attention à la concordance des temps et à la conjugaison.

12/20

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