jeudi 30 octobre 2014

Mercredi 29 Octobre

Bonjour,

Hier, nous avons ecouté des légendes de nos collègues. Après, nous avons fait l'enquête sur Les souhaits des habitants de la page 26 du livre et ensuite nous avons discuté Nos sondage de la page 27. Nous avons ecouté le micro-trottoir et nous avons commenté les opinions sur la circulation de Paris.
Gaëlle nous a donné le texte à trous nº2 que nous devons faire pour mercredi 5 novembre. Lundi prochain nous corrigerons le texte à trous nº1. Aussi, rappelez-vous que à 18 heures il y aura course de conversation avec Gaëlle. C'est tout.

Bon week-end!

mercredi 29 octobre 2014

(Na) Ruixamantells

Il y a très longtemps, sur le fond de la mer près de l'îl(l)e de Majorque, habitait(e) une déesse. Tout le monde la connaissait(t) sous(par) le nom de (na) Ruixamantells. On dit qu'elle était(est) très belle, que son corps était(est) moitié femme et moitié poisson, comme une sirène. Elle portait(e) des colliers de perles et des boucles d'oreilles de corail. Ses yeux étaient(sont) bleus comme la mer. Malgré cela, na Ruimantells n'était(est) pas heureuse parce qu'elle n'a pas jamais connu l'amour.
Souvent, elle regardait(e) avec langueur les marins et les pêcheurs qui sillonnaient les eaux de son royaume mais elle savait qu'ils étaient(sont) pour elle l'amour impossible parce que les marins ne pouvaient(euvent) pas vivre dans la mer et elle ne pouvait(eut) pas vivre sur la terre. Elle vivait dans l'océan avec l(d)es poissons, l(d)es poulpes, l(d)es algues et l(d)es étoiles de mer. Alors quand elle était(est) triste elle provoque tout à coup des tempêtes, des foudres et des coups de tornnerre. Souvent, sa colère a produit le naufrage des bateaux. Aux Îles Baléares tout le monde avait peur des tempêtes provoquées par la tristesse de (na) Ruixamentells, même les marins le plus chevronnés les craignaient.
Un jour, un jeune pêcheur est(a) sorti en(à la) mer sur(dans) son voilier comme d'habitude. Brusquement, une tempête s'est formée, et une vague géante a frappé le bateau et a rompu le gouvernail. L'embarcation était à la dérive et le jeune homme, à(au) bout de(s) forces, est(a) tombé à la mer, tout en criant. (Na) Ruixamantells a entendu les cris du pêcheur et elle est remontée(a) à la surface. Pour un instant, ils se sont regardés (regardèrent) sans dire un mot et ils sont tombés amoureux en un clin d'oeil. Depuis (À partir de) ce jour-la ils sont un pêcheur plein de bonheur et une déesse heureuse.
C'est ce qui explique que la mer Méditerranée soit(est) devenue une mer calme, et personne n'a plus peur des tempêtes provoquées par la tristesse de (na) Ruixamantells. Grâce à l'amour, la tristesse de la déesse a(ont) disparu pour toujours.

Isabel, attention à la concordance des temps et à la conjugaison.

12/20
LE SAINT CHRIST D´ALCÚDIA.

C´ETAIT EN 1507 QUAND(T) IL Y AVAIT UNE GRANDE SÉCHERESSE A ALCÚDIA, LES GEN(T)S ETAI(N)ENT MALADES PARCE QU'(E) ILS MANQUAIENT DE(LA) NOURRITURE.

D´APRÈS CE QUE DIT LA LÉGENDE, LE 24 FÉVRIER DE CETTE ANNÉE-LÀ, LE JOUR DE SAINT MACIÀ, LE SAINT-CHRIST D´ALCÚDIA DANS LA GROTTE DE SAINT MARTIN  A SOUDAIN COMMENCÉ À SUER SANG ET EAU ET, À CE MOMENT-LÀ, IL A COMMENCÉ(COMMENÇAIT) A PLEUVOIR.

CINQ JOURS APRÈS, LE MIRACLE A ÉTÉ CONFIRMÉ PAR MESTRE PERE  DEZCALLAR, CHEF JURÉ DE L’UNIVERSITÉ DU ROYAUME DE MAJORQUE, AINSI QUE PAR PLUSIEURS A(D)VOCATS ET HOMMES DE LOI.

IL Y A D'AUTRES MIRACLES DE CE(T) SAINT VÉNÉRÉ, PAR EXEMPLE EN(L´ANNEE) 1652,  EN TEMPS DE (LA MALADIE DE LA) PESTE, ALCÚDIA ETAIT LA SEULE VILLE DANS(EN) TOUT MAJORQUE QUI N´ETAIT PAS INFECTÉE, OU LES PLUSIEURS FOIS OÙ(QU´)ILS ONT PORTÉ(PORTAIENT) LE CHRIST DANS(A) LA GROTTE DE SAINT MARTIN DEVANT LE(A) MANQUE D´EAU ET LA PLUIE ABONDANTE REVENAIT(TOURNAIT A APPARAÎTRE).

LES PROCESSIONS QUI PORTAIENT L´IMAGE DU CHRIST À LA GROTTE DU MIRACLE ÉTAIENT CONSTANTES, ET LA DÉVOTION ÉTAIT TELLEMENT GRANDE ET EXTRAORDINAIRE QU´ILS ONT DÉCIDÉ DE CÉLÉBRER UNE PROCESSION TOUS LES (CHAQUE) TROIS ANS LE 26 JUILLET POUR RENDRE LES HONNEURS AU(A LE) JOUR DU SAINT CHRIST D´ALCÚDIA.

EN FIN DE COMPTE ON CÉLÈBRE CE JOUR PAR(OUR) FOI, DÉVOTION OU SEULEMENT PAR(OUR) TRADITION.

Alejandro, c'est mieux si tu n'écris pas en majuscules. Attention à la construction de certains verbes, et à la cohésion (ponctuation, prépositions...)

12/20


«Sa pota de rei» ou La légende d'un cheval extraordinaire.

«Sa pota de rei» ou La légende d'un cheval extraordinaire.

      Nous ne savons pas comment
était le cheval du roi Jaume I. Je ne sais pas s'il était noir ou blanc. Peut-être était-il brun. Sans doute, était-il un cheval très beau,(et) très fort et résistant. Tout ce que je sais est que ses pattes(jambes) étaient si fortes et si puissantes qu'elles auraient marqué leur (son) empreinte dans les roches les plus dures.
Il est dit qu'une fois,
alors que(lorsque) le roi pensait(a pensé) qu'il(e) 
restait encore (seulement)  quelques(certains) réfugiés musulmans dans les coins les plus reculés(cachés) au nord de la montagne, avec son armée il est monté (montaient) au sommet du(e) Puigmajor, et avec ses troupes, ils se sont battus pour vaincre(surmonter) ces derniers combattants
Mais il s'était(est) trompé.
Dans le domaine d
u Raiguer, au pied des montagnes, il y avait encore(juste) un groupe de résistants qui avait tenté d'attaquer la zone d'Inkan, la ville riche qui avait été prise(saisie) il y avait quelques mois, lorsque les troupes catalanes étaient dans(sur) la Serra de Tramuntana. En fait, les soldats qui étaient(se sont) restés pour contrôler le territoire conquis(eri) étaient peu nombreux et étaient mal armés, ce serait une tâche facile.
Mais ils avaient tort.
On dit que le cheval du roi était agile, audacieux et bon. Et (Mais) ils ne connaissaient pas la mesure(taille) de sa force prodigieuse.
On dit que le roi s'est tourné à partir du haut du Puig Major pour voir les superbes vues qu'on a(voit) à partir de là. Mais ce qu'il a vu, il ne l'a pas aimé du tout. Dans (À) la plaine, les musulmans avaient attaqué les troupes catalanes, qui avaient(ont) offert une 
faible résistance
Le roi n'a pas hésité un instant. Il a éperonné son cheval de(avec) toutes ses forces et celui-ci a sauté du haut des rochers (des rochers hauts) du(e) Puig Major jusque dans les terres du Raiguer. Ses chevaliers sont restés stupéfaits. C'(Il) était un vol prodigieux. Des(Parmi les) quatre pattes(jambes) du cheval, une prise sur un rocher arrondi au niveau du sol, et elle est marquée.
Les
maures se sont effrayés de voir l'homme qui venait vers eux (avec) l'épée dégainée. Comment pourrait-on, en quelques secondes, être descendu(avoir baissé) des hautes montagnes jusqu'aux plaines? Quel était ce miracle? D'où venait cette force mystérieuse? Ceux qui le pouvaient ont fui. Ceux qui ne sont pas partis à temps, ont perdu la vie.
Même aujourd'hui, si vous allez à cet endroit, vous pouvez voir la marque. La roche fend
ue par la patte(jambe) du cheval royal. L'empreinte témoigne(n) du miracle.


Bon travail Jordi, mais attention à la concordance des temps et à la cohérence et cohésion du texte.

13/20

LE PRÉCIPICE DE LA BELLE FEMME


Il y a très longtemps, un jour, dans(en) un village perdu dans la plaine de Majorque, un grand  mariage allait avoir lieu(se produire).  Mais ce n’allait pas être le jour le plus heureux pour le couple. 

- Comment sera cette nouvelle vie de mariée ? Cet homme que mes parents ont choisi pour moi, il m’aimera ? – se demandait la  jeune femme, qui était jolie, tendre et rêveuse.

La jeune fille pensait  que le monde n’était pas comme celui qu’elle avait lu dans les livres, c’était un monde de pactes et d’intérêts où l’amour et les sentiments n’avaient pas beaucoup de choses à dire. Elle croyait que si elle faisait des efforts et priait la vierge de Lluc, l’amour allait venir.

Pour l’homme, un paysan riche et décidé, être marié avec une femme inconnue le déconcertait. Il espérait qu’elle se tairait comme sa mère faisait(t) avec son père,  et qu’elle serait une bonne épouse et lui donnerait de beaux enfants sains (en lui donnant des fils sains).

Depuis le jour de mariage, des semaines et des moi(n)s avaient (ont été) passé(s). La troisième année de mariage avait commencé et le couple ne réussissait pas à avoir d'(des) enfants ; les baisers (bisous) étaient glacés et le couple ne parlait pas, et cela les rend(r)ait chaque fois plus loin l'un de l’autre.

Un matin, la femme a suggéré au paysan : - Et si l’on marchait(e) jusqu’au monastère de Lluc afin (à fin) que la mère de Dieu écoute no(u)s souhaits d’avoir des enfants ? Peut-être peut-elle nous aider.
L’homme n’était pas trop convaincu mais il a finalement accepté. De toute façon, il doutait de sa femme parce que quelqu’un lui avait parlé des anciens amours de sa femme, innocents et d’enfance. C’est ce qui explique que ces amours, peu à peu, étaient (sont) devenus le motif pour décharger les fautes d’une relation qui ne marchait pas depuis longtemps. 

Et le jour de la montée à Lluc est arrivé, c’était le dimanche des Rameaux. Le couple, habillé correctement pour cette longue route, a fait une première partie en charrette (jusqu’à arriver à Selva en passant ppar(our) Inca) et l’autre à pied de Caimari, comme le fait tout le monde. C’est alors qu’ils sont arrivés au lieu où le cœur de chacun se contractait à cause de la magnificence du paysage, devant(en) un précipice perdu, loin de Lluc et loin de Caimari. Soudain, il l’a poussée. Le cri a été long et il n’a pas vu où la jeune femme était (est) tombée. Il n’a pas reconnu  ce que son cœur éprouvait : c’était de la peur, de la peine, du repentir ?

Après (Depuis) cet événement-là, sans savoir comment,  il est arrivé au Sanctuaire de Lluc, il est entré dans (à) l’église et a trouvé une femme placée devant la vierge de Lluc qui priait avec dévotion. Lui(Il), qui regrettait le péché commis, s’est approché vers la femme. Tout à coup, elle s’est retournée et tout le sang du corps du paysan s’est glacé en un instant.

Elle l’attendait, intacte, sans aucune blessure, sans larmes aux yeux, comme si les anges l’avaient portée jusqu’à cet endroit de paix. Tout de suite après, le couple s’est regardé pendant (pour) un bon moment, peut-être tendrement. Il ne fallait(utait) pas dire de(s) mots, ni de pardons, ni d'explications. Quelque chose dans lui avait enlevé l’obscurité de son âme ; quelque chose dans elle lui disait que recommencer était possible.  Finalement, ils ont joint leurs (mis ses) mains (ensemble) et ils sont sortis sur(à) la place de Lluc, où ils ont vu la procession qui se dirigeait vers le temple.

Très bon travail Mar 15/20

mardi 28 octobre 2014

La légende du château d’Alaró

La légende du château d’Alaró

La légende raconte qu'il y a(avait) très, très longtemps... dans un endroit appelé Alaró  qui est situé entre deux montagnes géantes, où se trouve un château et à côté il y a une caverne qui a le nom de St. Antoine.

De nombreuses sorcières vivaient dans ce château  et protégeaient (qui ont protégé) le petit village et ses habitants.

Pendant les nuits de pleine lune les sorcières sortaient avec leurs balais et volaient entre les deux montagnes, en chantant des chansons, en dansant et en riant.

Alors tous les samedis soirs, les sorcières avec de nombreux fils tissaient  un pont entre les deux montagnes, pour faire un petit tour.
On raconte, encore aujourd'hui, que quand il y a pleine lune nous pouvons apercevoir entre les deux montagnes les sorcières qui dansent d'un endroit à l’autre.

Au château d’Alaró les habitants n’avaient jamais entendu parler des histoires de princesses et de dragons, ils parlaient seulement du roi Alphonse et du roi Jacques appelé le Conquérant qui a combattu pour le château.
Sur la route pour aller au Château, le cheval du roi Jacques I, a laissé  les  empreintes de ses pattes qui  peuvent  encore se voir aujourd'hui.


Les Maures qui avaient trouvé refuge dans le château se sont échappés (s’échappent) quand ils ont vu le roi Jacques arriver sur la montagne. Ils se sont jetés (jettent) dans le ravin avec une casserole d’argile sur la tête afin (à fin) de ne pas se blesser ou se faire mal.

Margalida, attention à la concordance des temps.

13/20

DEUX CHIENS DU RAIGUER


Il y a très longtemps, quand même les pierres parlaient comme les hommes parlent aujourd'hui, deux chiens se sont rencontrés par hasard. C'étaient deux superbes animaux athlétiques et puissants, deux dogues vraiment dangereux dont on aurait eu du mal à discerner (pu affirmer) qui était le plus fort.

L'un d'eux serrait entre (parmi) ses dents un beau morceau de viande que, peut-être, son maître lui avait donné comme récompense grâce à son bon travail ou, peut- être, c'était le chien qui avait volé le morceau de viande qu'il pressait toujours de toutes ses forces tandis qu'il cherchait un coin écarté où dévorer sa prise (conquête). C'est alors que les deux chiens se sont vus.

Le deuxième chien a ap(p)erçu le morceau de viande et, comme (qu')il avait très (beaucoup de) faim car il y avait deux ou trois jours qu'il n'avait rien mangé, il a songé à s'approprier de la nourriture que l'autre possédait. Celui-ci s'en est rendu compte (de cela) et tous les deux ont mesuré leurs possibilités de réussite en cas d'une éventuelle bagarre. Les deux chiens ayant compris qu'une querelle entre eux serait terrible même pour le vainqueur, tellement leurs forces (pareilles) semblaient  égales, ils se sont un peu relaxés.

Tout de suite après, le chien qui n'avait rien dans la bouche s'est approché de (à) son congénère et lui a dit:
       - Bonjour Monsieur le chien! Puisque je ne vous ai jamais vu, je voudrais savoir quel est votre village.
       - Mancor. - le chien a naïvement répondu en ouvrant la bouche. Par conséquent, le morceau de viande est tombé par terre.

  En un clin d'oeil, le chien affamé a ramassé le butin et l'a fortement pris entre ses puissantes mâchoires. Le chien de  Mancor, celui qui avait perdu la tranche de viande (chair), ne sach(v)ant guère comment réagir, a essayé de se reprendre en disant : 
       - Et vous, Monsieur le chien, d'où venez-vous?
       - D'Incaagrr!.- Mais, tandis qu'il disait cela, il ne lâchait point le morceau de viande et le serrait encore plus fort.

En fin de compte, le chien qui semblait le légitime proprietaire a dû partir, la queue entre les pattes.

Et depuis ce jour-là, les gens du Raiguer qui ne sommes pas d'Inca nous nous méfions de ceux qui sont de la capitale de la région (comarque).

I qui no ho cregui que ho vagi a cercar.

Très bien Toni, production très élaborée.

16/20

lundi 27 octobre 2014

LA BRÈCHE DE ROLAND

La brèche de Roland

Pendant sept ans j´ai vécu au nord de la province de Huesca. Dans le Parc National d´Ordesa el le Mont Perdu on peut visiter l´un des plus beaux endroits des Pyrénées, c´est "la brèche de Roland" qui se nomme ainsi en honneur d´un des personnages le plus légendaires du Moyen Âge (de l´Âge Moyen) et dans (par) ces lieux on y raconte l´histoire suivante ;
Il semble que Roland était un valeureux chevalier qui fuyait de Cesaraugusta (de nos jours Zaragoza). Il était allé à la conquête de la ville et il avait échoué (né) dans la(e) tentative. On (y) raconte qu'(e) il était en train de rentrer(retourner) en France quand après être arrivé dans les (aux) montagnes qui séparent la France de l´Espagne, il a été attaqué et tout à (de) coup il est mort, mais avant de mourir (c´est alors que) il a jet(t)é son épée vers les monta(i)gnes en ouvrant ainsi un passage pa(e)r lequel on voyait La France et ainsi (, tellement que) Roland a pu voir son pays avant de mourir.
De nos jours ce lieu se nomme la brèche de Roland ou le saut de Roland et maintenant (a l´heure) les excursionnistes y vo(a)nt. Aussi c'(il) est un lieu qui peut se voir de loin  si tu es au parc natural.

13/20




dimanche 26 octobre 2014

Le comte Mal

Il y a très longtemps, il y avait un comte qui habitait dans (à) l´île de Majorque. C'(Il) était un noble très  reconnu par(our) les habitants de toutes les villes de Majorque et, en plus, il  avait beaucoup de privilèges car il était seigneur d´anciennes cavaleries d´Hero, Santa Margalida, Alcudia, Maria, Castellet, Montblanc et Tanca.

Il était très ambitieux et avare car il voulait s´approprier  tout l´argent des gens de certaines villes de Majorque ( Sta. Margalida). De même, il était très malin car il tuait les(des) gens qui ne le(lui) payaient pas.

Tous les gens d´ici avaient peur du(au) comte Mal et ils(elles) lui payaient de forts impôts pour sauver leur vie. En outre, le comte leur demandait tout l´argent jusqu'au(à le) dernier centime. En conséquence, les gens mouraient de faim et ils(elles) vivaient dans la misère.

Un jour, toutes les villes de l´île ont décidé de se révolter contre lui car leurs habitants se sentaient très fatigués et affamés à cause des guerres qu´il y a eu(avait) pendant le dix-septième siècle qui ont provoqué une misère absolue dans toute l´île..
Par ailleurs, les gens voulaient dénoncer le comte au Tribunal de Justice parce qu´il leur volait toutes les ressources économiques qu´ils(elles) utilisaient pour se nourrir.

Plus tard, (c´est alors que) le comte Mal a été mené devant la justice et il a été condamné à la prison à vie où il est mort.

C´est ce qui explique qu´on croit que l´esprit du comte Mal est encore vivant à l´heure actuelle car on dit qu´il marche sur la montagne de Galatzó sans repos assis sur un cheval noir qui crache (jette) le feu par la bouche..

Bon récit Apol.lonia 13,5/20

vendredi 24 octobre 2014

Mercredi 22 Octobre

Bonjour,

Albane nous enseigné la mécanique pour conjuguer le futur, le conditionnel present et les temps composés. Ensuite, nous avons fait le participe passé d'une liste de verbs en infinitif.
Aussi, nous avons lu La Légende des demoiselles coiffées de la p.22 et nous avons fait les exercices 2 et 3 de la p.23 du livre.

À faire:
L'exercice 5 de la p.23 du livre sur le blog (200 mots). N'oubliez pas d'introduire les expressions de l'exercice 3 et vous devez écrire l'étiquette RED_[votre nom]_Légende.

Attention! Lundi prochain 27 il y n'aura pas de course, mais il y aura une heure, 18-19h, de conversation avec Gael.

Bon week-end!

mercredi 22 octobre 2014

CONJUGAISON.COM

Voici le lien pour vous aider à vous débrouiller avec les verbs. J'espère, mes camarades, que ça vous plaira.

http://www.conjugaison.com/

mardi 21 octobre 2014

Lundi 20 Octobre

Bonjour,

Hier, nous avons fait:
- L'exercice 2 (1ère colonne) et l'exercice 2 (2ème colonne) de la p.16 du livre.
- Lecture de le texte de la p.17 Retour de voyage dans l'île de la Réunion.
- Le test sur le retour des traditions de les p.18 et 19.
- Aussi, nous avons ecouté le micro-trottoir Pour ou contre les bizutages p.19.

À faire:
- Livre: Complétez le tableau de la micro-trottoir p.19
- Blog: Ecouter et lire Fais-moi mal Johnny
- Cahier: Exercices 1 et 2 de la p.7 et 3 et 4 de la p.8
- N'oubliez pas à faire le texte à trous nº1: Ce que je peux te dire d'elles.

À bientôt.

lundi 20 octobre 2014

Fais-moi mal Johnny de Boris Vian chanté par Magali Noëlle et Boris Vian


Et voilà les paroles :

Il s'est levé à mon approche 
Debout, il était plus petit 
Je me suis dit :"C'est dans la poche, 
Ce mignon-là, c'est pour mon lit ."
Il m'arrivait jusqu'à l'épaule 
Mais il était râblé comme tout 
Il m'a suivie jusqu'à ma piaule 
Et j'ai crié : " Vas-y mon loup !!!"

Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Envoie-moi au ciel... zoum! 
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Moi j'aime l'amour qui fait boum! 

Il n'avait plus que ses chaussettes 
Des belles jaunes avec des raies bleues 
Il m'a regardé d'un œil bête 
Il comprenait rien, le malheureux 
Et il m'a dit l'air désolé 
"Je n'ferais pas d'mal à une mouche 
Il m'énervait ! Je l'ai giflé 
Et j'ai grincé d'un air farouche 

Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Je n'suis pas une mouche... Bzzzzzzzz! 
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Moi j'aime l'amour qui fait boum! 

Voyant qu'il ne s'excitait guère 
Je l'ai insulté sauvagement 
J'lui ai donné tous les noms d'la terre 
Et encore d'autres bien moins courants 
Ça l'a réveillé aussi sec 
Et il m'a dit : "Arrête ton char, 
Tu m'prends vraiment pour un pauvre mec 
J'vais t'en r'filer, d'la série noire"

Tu m'fais mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Pas avec des pieds... Si.! 
Tu m'fais mal, Johnny, Johnny, Johnny 
J'aime pas l'amour qui fait bing! 

Il a remis sa p'tite chemise 
Son p'tit complet, ses p'tits souliers 
Il a descendu l'escalier 
En m'laissant une épaule démise 
Pour des voyous de cette espèce 
C'est bien la peine de faire des frais 
Maintenant, j'ai des bleus plein les fesses 
Et plus jamais je ne dirai 

Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Envoie-moi au ciel... zoum! 
Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny 
Moi j'aime l'amour qui fait boum!