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Pierre Rahbi considére(é) que la modernité qui a provoqué l’uniformisation et la(’)standardisation est l’idéologie la(e) plus hypocrite de l’histoire humaine bien (encore) qu’il reconnaisse(t) certaines avancées de la modernité dans les domaines politique, technologique, médical, etc.
Il dit que le progrès entête par la technologie et les nombreuses innovations dans lequel l’homme est le centre du monde n’est qu’un mythe.
En ce sens, la réalité nous montre les restrictions et les dépendances accrues que nous impose la vie moderne.
La modernité fournit une pensée régressive qui a instauré la vulgarité de la finance sur la beauté et l’être humain instaurant un ordre(é) que l'on a appelé la crise.
Dans ce système les conditions imposées aux humains sous le prétexte d’un progrès libérateur, sans que nous en ayons conscience, ne sont que des clauses(ules) carcérales.
Dans ce monde de modernité et de progrès, l’information est fondamentale mais quand elle est incontestable cela devient de la (en) désinformation.
Réellement la modernité aurait pu en s’appuyant sur la révolution industrielle être une chance pour l’humanité mais elle s’est(a) subordonnée a la puissance économique.
Tandis que dans la nature les animaux se contentent de(en) manger pour survivre (les cependant) les humains, non contents d’avoir assez pour vivre ils veulent aussi être riches.
Un(e) autre des facteurs négatifs de la modernité est l’envie et l’immodération qui(e) provoque que les gens veulent des choses qui ne sont pas nécessaires pour eux alors (en retour) que les cultures traditionnelles sont régies par la modération.
Mais le plus anecdotique est que les gens sont possédés par ce que qu’ils croient posséder.
Pierre Rahbit dit finalement qu'(e) une des (de les) caractéristiques des(de le) temps modernes est que le temps est(a) devenu du(de le) « non temps » jusqu’à(ici) la frénésie.
4- Faites une dissertation en choisissant un des thèmes du livre, en expliquant l’opinion de l’auteur sur ce thème et en le comparant à votre propre opinion.
Pierre Rabhi dans le thème La Sobriété, une Sagesse Ancestrale du libre Vers la Sobriété heureuse tente de décrire la sobriété comme une position/ prise de conscience (posture) contre la surconsommation.
Dans cet essai il veut nous convaincre qu’il y a une autre forme de vivre très différente de celle de la société de surconsommation.
Rabhi donne un petit(e) exemple de(d’uns) jeunes paysans d’un village du Sahel africain qui viennent d’annoncer une nouvelle: ils ont eu une bonne récolte, mais un sage vieillard ne montre pas autant d'enthousiasme. Il leur dit qu’ils pourront désormais cultiver seulement (que) la moitié de leurs parcelles et aussi donner une partie de la récolte a des gens qui en(’)ont besoin pour survivre.
Rabhi avec cette scène tente (a la tentative) d’expliquer que avoir un désir pour améliorer la performance de leur travail et pour avoir plus d’argent suppose(é) réellement, pour les gens, une perte(due) de liberté, d’autonomie et aussi un détriment de leur propre survie alimentaire.
Il défend(se) de prioriser (a) les personnes devant (de) l’économie; et de travailler et de produire ce qui est (le) suffisant pour garantir (la) notre survie(vance) avec un minimum de qualité de vie, nous n’avons (pas) besoin de rien de plus.
Certainement Rabhi avec ce livre expose-t-il son (il exposé le sien) programme politique, son ( la sienne) idéologie où(dans la qu’)il défend(se) la rupture avec la croissance, car en elle-même c'est le problème, en aggravant la pression sur l’humanité et sur l’environnement.
Je pense que Rahbi a beaucoup de raison et que l’obsession pour la croissance est pour tous comme une chaîne lourde qui uniquement bénéficie aux(a les) puissant(e)s. Mais par contre (en échange), je crois que se contenter de ce dont(que) nous avons besoin peut être paralysant(é) non(e) seulement pour(pas) la croissance mais aussi pour l’évolution, la recherche de nouveaux médicaments qui peuvent nous guérir, de nouvelles(aux) inventions qui peuvent nous faciliter la(notre) vie.
Et pourtant je crois que nous avons besoin de personnes comme Pierre Rahbi pour nous rappeler que(qu’il est fou) la croissance sans limite est déraisonnable mais la sobriété heureuse nous condamne à perdre le(s) sens des êtres humains.