Je suis Charlie

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Grand Corps Malade - #JeSuisCharlie

La réaction à chaud d'un artiste...

Hommage aux victimes du journal Charlie Hebdo

 

Soyons conscients que tout le monde ne veut pas une société

sans liberté d´expression où règnent la peur et le meurtre.

Résumé du livre de lecture d'Anne Icart

Nous nous trouvons dans une époque où les(des) femmes n'avaient pas les(des) mêmes droits que les(des) hommes. Cette raison (c')est suffisante pour aller(avait allé) à des marches féministes à Paris, pour avoir la liberté d'élection dans tous les champs de la vie. On se trouve dans les années 60, Blanche, qui('elle) va devenir mère de Violette, un des derniers personnages, qui est la dépositaire et le témoin de l'histoire familiale, où les mémoires et souvenirs sont, de plus en plus, moins près d'une réalité propre inconnue pour des femmes antérieures à son époque. Elle cherche de la justice et de la sensibilité, où les femmes jouent un rôle principal. Des personnages, pendant quatre générations, trois femmes, soeurs et cousines, s'élèvent ensemble. Les relations générationnelles entre elles, la famille et l'amour, la tendresse et l'amertume, et surtout le temps, le temps qui s(c')est passé en apprenant, en jouant...sont les valeurs exprimées par(pour) toutes les femmes de cette histoire. Une histoire, un roman, plein de mélancolie, où les mots, les paroles employés ont(avaient) le pouvoir de nous faire passer du rire aux larmes. On raconte que c'est l'histoire de ce petit monde exclusivement féminin. Comme c'est le cas de la(sa) couverture du livre, avec ses bobines de fils qui nous ont(avons) donné une petite idée de la narratrice; qui ? générations à venir, nous nous sommes (avons) trouvés qu'elles avaient, à la fin, monté(er) un négoce de(')haute couture. Des rêves, l'époque, des drames personnels, des failles... Retrait de la famille, à rénover le contact et les liens, lesquels étaient disparus, seront retrouvés grâce(s) à de bons mots, pour s'expliquer, parce qu'elles avaient encore l'espoir d'apaiser leur(sa) rancoeur, (de) les pour(-)quois de leur(sa) vie sans (des) hommes chez(-)elles. Enfin, le destin nous rapporte d'une façon définitive, comment sera le fonctionnement de la vie en famille, quand des cas se produisent dans notre environnement, ou(ù) autour de nous. (310 mots, plus ou moins)

Attention à la logique Jaume, on a parfois du mal à te suivre. 11/20